Publié le 6 octobre 2020
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DFA : l’UNSA toujours sur le pont

L’UNSA a été reçue à deux reprises par le Directeur des Finances et des Achats les 22 et 28 septembre. En cause, le télétravail et le système de ventilo/climatisation de Bédier défectueux depuis l’arrivée des agents à Bédier ; on pourrait dire non sans humour que grâce à la modernisation, on n’arrête pas le progrès !

S’agissant du télétravail, l’UNSA a demandé à ce que les règles soient assouplies, notamment pour le service facturier « SFACT » qui fusionne les fonctions d’ordonnateur et de comptable. Notre demande a été entendue puisque le directeur des Finances et des Achats a accepté lors de la dernière audience du 28 de passer à deux jours de télétravail dans la majorité des cas ; pour mémoire nous nous trouvons toujours dans l’application des règles déterminées par le Comité Technique Central qui fixe de un à trois jours la durée du télétravail. Pour autant, lors des CT et CHSCT de la DFA qui se sont tenues le 2 octobre, l’UNSA a demandé à ce que le télétravail soit déployé au maximum des préconisations de la Secrétaire Générale, voire plus si nécessaire, en raison de l’évolution sanitaire qui se dégrade de jours en jours. Hélas, les nouvelles tombées ce week-end ne font que confirmer la mise en place de dispositions qui relèvent du bon sens pour l’ensemble des Directions de la Mairie de Paris.

S’agissant du système de ventilo/climatisation de Bédier, on vous dispensera de l’historique des explications techniques reçues par vos représentants UNSA à chaque séance des CT et CHSCT sur l’origine des dysfonctionnements depuis l’entrée des agents à Bédier. Ce qui est sûr, c’est qu’il arrive un moment où, lorsque les informations se contredisent en permanence, y compris celles apportées au directeur des Finances et des Achats puisqu’il lui arrive, lui aussi, d’avoir, dans son bureau, des températures de plus de 30 degrés lorsqu’il fait à peine 5 degrés à l’extérieur; il arrive un moment où on a envie de dire ça suffit en un mot « BASTA ». Il apparait probable que les directions en charge de suivre les travaux  des prestataires extérieurs n’ont pas été assez sévères vis-à-vis du mainteneur et du constructeur car aucune raison valable ne peut justifier des délais aussi longs pour remédier à ces dysfonctionnements.

L’UNSA a également demandé à ce que le régime indemnitaire des agents du SFACT soit revu en supprimant certains indicateurs qui aurait pu être pénalisant et réducteur à l’avenir. D’une manière générale, l’UNSA a proposé quelques pistes visant à l’améliorer.